Retour de Judith sur répête du 10 nov: Quelques notes sur la répétition de ce soir :'
Premièrement, j’aimerais avouer que jouer la pièce comme espèce de ‘radio play’ est beaucoup mieux que la travailler même en Improve, Ça donne de l’espace aux artistes visuels (Geneviève et Simon) de se concentrer sur le visuel de l’écran, et ça donne aussi à ceux qui sont habitué à performer la voix de la faire sans compromis. Bob et Ginette, je me demande si c’est mieux d’enregistrer la perfo, parce que Bob a déjà pas mal pleine son assiette pour toute la soirée.
L’aspect de la musique : le violon augment le pathos de la pièce, au lieu de la pousser vers le dada ou d’autres absurdités. Si on ajoute de la musique, je préfère de tes pièces flyées, Bob, du labyrinthe – seulement si on a le temps les ajouter.
Rédaction du texte :
Je veux garder le sens que ce sont des gens qui sont détruit par l’expérience de la guerre, chacun de sa façon. Sol, un homme/femme guerrier-e devenue quelqu’un blessé-e et vulnérable, Frida, une femme/homme qui s’est clenché les dents pour prendre soin de son marie, mais ne peut plus le supporté. C’est très important qu’elle grandi en image en même temps qu’elle retrouve à son pouvoir – aspect du visuel qu’on a déjà vu la semaine passée.
Comme ça, c’est important de garder dans le texte les éléments suivants :
Sol dépend sur Frida, et il abuse de cela.
Sol ressens la rejection sexuel de Frida.
Il essaie de la forcé de rester avec lui – elle hésite, même si elle avait déjà pris décision.
Frida retrouve son pouvoir personnel et elle quitte à Sol.
Sol fait une brève contemplation de se suicider (avant l’appel téléphonique, alors c’est aperçu seulement comme des gestes qu’on puisse voir sur l’écran), mais l’amitié et les choses banales, comme boire de la bière, enfin donne le gout à Sol de rester en vie.
Merci à tout le monde!!! XOX