« Poésies comptables » : différence entre les versions

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*envolée labréchienne:   
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'''Bozzo des Bois''' : sur les poésies urbaines qui nous enjoignent... à dénoncer avec de l'humour et des gros yeux la gangrène sociale... les paradis fiscaux, on a plus le choix.  Parce qu'après s'être serré la ceinture, que le gouvernement nous demande de remonter nos bretelles en plus, ben le Québec est entré dans sa phase ''grand-père'':  les pantalons se portent trop courts, trop serrés, trop pogné autour de la poche!
'''Bozzo des Bois''' : sur les poésies urbaines qui nous enjoignent... à dénoncer avec de l'humour et des gros yeux la gangrène sociale... les paradis fiscaux, on a plus le choix.  Parce qu'après s'être serré la ceinture, que le gouvernement nous demande de remonter nos bretelles en plus, ben le Québec est entré dans sa phase ''grand-père'':  les pantalons se portent trop courts, trop serrés, trop pogné autour de la poche!  Oui je l'avoue, je suis un naïf fiscal. ...  un paradis fiscal c'est pas un endroit où l'argent gentil s'en va quand il meurt!

Version du 4 décembre 2016 à 19:46

C'est ma toune!

Mon chant d'espérance, mon credo artistique, ma façon d'écrire le théâtre aujourd'hui, dans la poésie des écritures comptables! Dans l'horizon de la prochaine saison, dans l'urgence de la session pour demain. J'écris du théâtre à plusieurs mains, avec plusieurs groupes. Pour moi, c'est un plaisir en crescendo depuis 30 ans. Merci de rêver ce théâtre avec moi.

Mes poèmes s'intitulent: calendrier, planif générale, organisation des comités, conception des outils de communications. Retour à Accueil

Ondes parasites

  • envolée labréchienne:

Bozzo des Bois : sur les poésies urbaines qui nous enjoignent... à dénoncer avec de l'humour et des gros yeux la gangrène sociale... les paradis fiscaux, on a plus le choix. Parce qu'après s'être serré la ceinture, que le gouvernement nous demande de remonter nos bretelles en plus, ben le Québec est entré dans sa phase grand-père: les pantalons se portent trop courts, trop serrés, trop pogné autour de la poche! Oui je l'avoue, je suis un naïf fiscal. ... un paradis fiscal c'est pas un endroit où l'argent gentil s'en va quand il meurt!