Problème - location
Maisonnée intergénérationnelle sous pression
- Gendre hargneux, 40 ans, asperger pas éduqué, enfant de la DPJ (carences affectives +++), présente des traits du pervers narcissique (contrôle la maison, violente psychologiquement femmes, enfants et belle-mère en faisant régner un régime de tensions, méfiances, paranoïas, dénigrements et accusations mensongères).
- Fille schizophrénie passive (35 ans), TPL, en amour avec son conjoint-bourreau, considère qu'il est la meilleure chose qu'il lui soit arrivée dans la vie et que leurs engueulades un peu intenses sont acceptables; qu'il faut savoir encaisser; elle ne reconnait pas la violence qu'il lui inflige ainsi qu'aux enfants; elle continue de le défendre coûte que coûte; pour préserver la garde des enfants, elle a accepté de quitter la maison et de se reloger ailleurs;
- le couple, travailleurs autonomes, développe ensemble l'entreprise vertiponic (installations culture hydroponique); prestataires d'aide sociale; en démarrage, je doute que les revenus suffisent à assumer les frais d'exploitation;
- 2 enfants (2 ans, 5 ans) qui vivent dans la crainte des éclats du père; grandissent sans faire de bruit (ou, après accumulation, dans des explosions d'énergies hystériques); l'ainée développe depuis l'automne des troubles du comportement; l'aînée n'est pas la fille biologique du père;
- Belle-mère (64 ans, spécialiste théâtre, cirque, Com. scol. Les Affluents, Les Samares), propriétaire-locateur du 30, rue Guy, St-Gabriel-de-Brandon: maison en rénovation, loue le rez-de-chaussée au couple et habite au sous-sol, entend tout, enfermée de peur chez elle, sans contact avec fille et petits-enfants, sans accès rez-de-chaussée et jardin; depuis 1 an, elle est le témoin de tous les sévices psychologiques de fille et petits-enfants; subit des sévices elle-même (agressions verbales, intimidations, menaces, accusations, calomnies); Veut reprendre sa maison pour elle-même et la relocalisation urgente de sa mère (92 ans);
Bail avec Noémi Desmarais et Jean-François Lévesque
- 18 avril 2019 - Emménagement du couple: à mon invitation, le couple a emménagé avec la permission de construire dans la cour une serre hydroponique pour usage domestique. Sur la base de nos discussions verbales, un bail a été préparé à 650$/mois (1er mai 2019 à 20 juin 2020) + 150$/mois en acompte sur électricité (ajustement annuel selon consommation réelle). L'usage de la cour y était mentionné en partage avec la propriétaire qui a la responsabilité de l'entretien paysager et projette d'y aménager un jardin-potager elle-même pour usage personnel; M. refuse de signer le bail, prétextant qu'il n'avait jamais été question de payer l'électricité, que selon lui, c'était un tout inclus à 650$ sinon il n'aurait pas déménagé; après discussion, on s'accorde pour un acompte mensuel de 100$ et de réévaluer la somme après la révision annuelle d'Hydro-Québec; malgré cet accord, le couple n'a jamais signé la copie modifiée du bail. Le couple s'est acquitté entièrement de ces sommes de mai 2019 à juin 2020 (sauf le 100$ acompte électricité en juin 2020) mais dès le début de la pandémie, devant le prolongement inespéré de leur location, ils ont demandé l'autorisation d'agrandir la serre et de lancer une nouvelle saison agricole, ce que la belle-mère autorise à condition que ce délai ne dépasse pas le 30 octobre et que sous aucune considération soit considéré de chauffer la serre un 2e hiver; le couple refuse cette date de reprise affirmant qu'ils partiront quand ils seront prêts et/ou auront amorti leur investissement. 1 an? 2 ans? 3 ans? Ils refusent de fixer un délai: la discorde a repris de plus belle;28 avril2020_Avis de reprise du logement par courrier recommandé. Contestation par le couple le 7 mai; en raison du décret ministériel, expiration du délai pour déposer à la Régie la demande de reprise; Nouvel avis pour reprise au 2 janvier 2021(courrier recommandé) 2 juillet 2020;
- rénovations - Maison à logements : à cette invitation de venir rester en campagne et d'avoir la possibilité d'installer la serre hydroponique, il y avait aussi une proposition de travail faite à JF pour réaliser les travaux de rénovations afin de transformer le 30, rue Guy en maison intergénérationelle, avec 2 unités de logement (entrées, boîte électrique et chauffe-eau séparés). Or, rapidement il est apparu que cette maison exigeait des rénovations majeures et urgentes, et ne disposait pas des spécifications requises pour la convertir en maison à logements; de plus, début juin 2019, la discorde était telle que la propriétaire a avisé son gendre qu'il ne toucherait plus à rien et a confié ses travaux à quelqu'un d'autre; ce qui a rajouté à l'insatisfaction grandissante des 2 ménages; rapidement, les interdictions |restrictions de voir ou garder les petits-enfants ont débuté;
- emprunt d'argent : afin de soutenir leur projet d'affaires, au fil des mois, la belle-mère a consenti à prêter des sommes d'argent au couple via sa carte de crédit rénovations (total 5 788,15$ au 27 avril 2020);
- Ajustement annuel des coûts d'électricité: Facture Hydro Québec au 17 juin 2020, surplus annoncé de 3 211,70$. La propriétaire estime juste de partager la facture (40%|soussol + 40%|rez-de-chaussée + 20%|serre. Le couple prétend que c'est la mauvaise qualité de l'isolement de la maison qui a engendré une telle surcharge; que la serre, par leurs mesures d'économie d'énergie, ne justifie pas un tel coût; aux dernières discussions, Noémi a consenti à reconnaitre 50% du coût d'ajustement sans pouvoir l'acquitter pour le moment;
- exclusivité de la cour et hypervigilence: progressivement M. a commencé a exercer des pressions pour l'usage exclusif de la cour, interdisant à la belle-mère de se présenter lorsque lui ou sa famille sont à l'extérieur, sous peine de vociférations, accusations insensées, délires apocalyptiques, prenant tout le voisinage à témoin; belle-mère maintient que leur intimité se limite à l'intérieur de leur logement, et que la cour a une vocation communautaire, qu'il n'en a jamais été autrement; simultanément, il s'est mis à exercer une surveillance obsessive sur la cour et le voisinnage, affirmant être entouré de voleurs d'électricité, de bandits, accusant la belle-mère d'entrer chez lui en ses absences de plus en rares; de faire des coupures de courant exprès; de saboter ses cadenas, de circuler de façon louche autour des installations; de parler aux arbres; de
- dégradation des rapports familiaux: dès juin 2019, M. a entrepris des mesures pour discréditer la grand-mère aux yeux des enfants, et spécialement de Talia (5 ans): retrait des enfants en présence (comme si j'étais le diable); placardage des fenêtres (empêcher les enfants de me saluer); interdiction de les recevoir chez moi sans la supervision de la mère, interdiction de faire le clown (ou référer à toute image païenne, catholique, artistique, etc); envers sa conjointe, c'est un flot continu de reproches de ressembler à sa mère, que cette malédiction (chansons du diable, toutes les niaiseries d'artisssses) viennent de sa famille (de pédophiles), donc tous les problèmes sont de sa faute, c'est une incapable, paresseuse comme sa mère, qui parlent toujours d'affaires de folle, de psychopathe (i.e. les émotions, les désirs, les besoins), tout est de sa faute à elle, et elle en est convaincue aussi; elle souhaite aujourd'hui rompre à jamais avec sa mère, sa culture mensongère de sorcière et toute sa grande famille qui ne la comprend pas ou prend pour sa mère.
- signalement à la DPJ : 31 mars 2020, 1er appel à la police pour violence conjugale; 22 mai: 2e appel à la police pour plainte de méfait (non enregistrée); devant la perspective de devoir subir encore une autre année de violences psychologiques, devant le constat que sa propre fille semble sourde et aveugle à la maltraitance, de continuer d'être témoin de la cruauté mentale envers les enfants, le 25 mai, la belle-mère a signalé la violence du père à la DPJ; le dossier a été retenu, le couple, sous enquête, a été forcé récemment de se séparer sous peine de se voir retirer les enfants; la mère est partie avec les enfants, le dimanche 29 juin) pour loger chez une amie d'enfance; 1er juillet, le gendre réside seul dans le logement mais n'a pas payé le loyer à ce jour;
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